Hats berri bat Arbonari
01/02/2024
01/02/2024
01/02/2024
01/02/2024
14/06/2023
OBSERVATIONS DU COMITÉ HITZA HITZ de l'association BIZI
La commune n’a pas donné suite aux relances par courriels et téléphone des sentinelles pour rendre compte de ses actions dans une perspective de métamorphose écologique.
. A notre connaissance, aucune délibération n’a lancé un plan de rénovation thermique du patrimoine communal vers un niveau basse consommation. Faute d’indicateurs des
consommations transmis, il n’est pas possible d’évaluer la trajectoire énergétique de la commune.
. Elle n’a pas transmis les indicateurs de production et de consommation communale d’énergie renouvelable.
. La cantine respecte le repas végétarien hebdomadaire, mais elle est encore loin de respecter les 60% de viandes et poissons durables et de qualité exigés par la loi en 2024.
Fixé à 32% entre 2018 et 2028 par rapport à la décennie précédente, l’objectif de réduction de consommation des terres dans le Plan Local d’Urbanisme n’atteint pas les visées prévues par la loi climat : la sanctuarisation des terres cultivables est mal engagée !
. La commune n’est pas encore adhérente à l’eusko ; elle a cependant entamé des démarches.
. A notre connaissance, la commune ne projette pour l’instant aucun plan d’action transversale pour décliner le Plan climat à son échelle pour la fin du mandat.
01/02/2024
https://www.france.tv/france-3/nouvelle-aquitaine/ici-19-20-euskal-herri-pays-basque/5692605-emission-du-mercredi-31-janvier-2024.html
01/02/2024
01/02/2024
30/09/2022
30/09/2022
Lurzaindia avec ELB, se sont rendus au cabinet du notaire qui a acté la vente des 12 ha des terres de Berrueta à Arbonne à 200 000€ (16 600€/ha).
En plus du prix spéculatif, les paysans ont dénoncé le contournement du droit de préemption de la SAFER!
Par l’intermédiaire du notaire, M. Harriague, Y. Borotra a vendu les 12ha en “nue-propriété”, c’est-à-dire sans que l’acheteur ne puisse, en principe, jouir du bien.
Cette stratégie empêche ainsi à la SAFER d’utiliser son droit de préempter les terres à un prix juste.
Alors que la vente de ces terres a fait l’objet d’une mobilisation massive l’année dernière, le vendeur s’entête à vouloir les vendre à un prix inaccessible pour les paysans, avec la complicité du notaire, toujours là pour défendre les intérêts des plus riches!